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Les maires
Par Christian Dessertine

Généalogies Maires coublandis
Par Coublanc-71.com

La Royauté
Jusqu’au 21 septembre 1792

Les municipalités ont été créées dans toute la France par un édit royal du 12 juin 1787. Les premières municipalités étaient composées du seigneur et du curé, membres de droit, et du syndic.

Le Roi LOUIS XVI convoque les Etats Généraux qui s’ouvrent à Versailles le 05 mai 1789.
Le tiers état se constitue en Assemblée Nationale le 17 juin 1789 puis se proclame constituante le 9 juillet (abolition des privilèges le 4 août, déclaration des droits de l'homme et du citoyen le 26 août).
La révolution de 1789 ayant supprimé les membres de droit, le syndic prit le nom de Maire.
Afin d'officialiser les nombreuses communes révolutionnaires surgies spontanément depuis le 14 juillet 1789, l'Assemblée Nationale décide, le 12 novembre 1789, que chaque ville, chaque bourg, chaque paroisse du royaume formera désormais une municipalité.

En décembre 1789, LOUIS XVI donne des « Lettres patentes » pour la constitution des municipalités. Il est créé une assemblée, le Conseil général de la commune, composée du Maire « chef du corps municipal » et des membres du corps municipal : trois avec le Maire pour les municipalités de moins de 500 habitants ; six pour les communes de 500 à 3000 habitants ; neuf, depuis 3000 et jusqu'à 10.000 habitants.

« Dans chaque municipalité, il y aura un Procureur de la commune, sans voix délibérative, il sera chargé de défendre les intérêts et de poursuivre les affaires de la communauté… » (Article XXVI des Lettres patentes).
« Les citoyens actifs nommeront par un seul scrutin de liste, et à la pluralité relative des suffrages, un nombre de Notables double de celui des membres du corps municipal » (Article XXX).

Les lois du 14 décembre 1789 et du 22 décembre 1789 prévoient l'élection des conseillers municipaux - au suffrage censitaire - y compris du maire.

Conformément au décret de l’Assemblée Nationale du 14 janvier 1790, les élections pour la constitution des municipalités devront se dérouler de janvier à mars 1790.
Seul les hommes âgés de plus de 25 ans et les plus riches de la paroisse votent. Quant aux femmes, elles ne votent pas.

Le Conseil est élu pour deux ans, renouvelable par moitié tous les ans. Le Maire reste en exercice deux ans et peut être réélu deux autres années, mais il est seulement rééligible après deux ans d'intervalle.

La municipalité dispose de pouvoirs étendus : assiette et perception de l'impôt, maintien de l'ordre et juridiction de simple police (elle peut requérir la Garde nationale).

Le maire sera également chargé de l'établissement des listes électorales et de l’organisation des scrutins, tant du point de vue matériel (tables, urnes, isoloirs), que du point de vue de la constitution du bureau (présidents et assesseurs). Outre celle de gérer sa commune, il a eu pour tâche première de représenter au mieux les intérêts de l'Etat.

L'Etat révolutionnaire ayant désiré un maire assez puissant, indépendant par rapport au conseil municipal. Il lui a donc rapidement confié des pouvoirs de police. Ces pouvoirs de police se résument en trois mots, inscrits dans la loi du 14 décembre 1789 : "salubrité, propriété et tranquillité ". Les municipalités ont donc eu en charge la nomination et également la destitution des gardes-champêtres.
C’est par le maire que les citoyens sont informés du changement de régime, des élections, des nouvelles lois.

Avec la Constitution Civile du Clergé, promulguée le 12 juillet 1790, le maire se voit confier des attributions qui jusque là relevaient du curé. Mais c'est la loi du 22 pluviôse an VIII, complétée par l'arrêté du 2 pluviôse an IX, qui donne à la fonction de maire sa définition moderne et lui confère son originalité. Pendant près de 3/4 de siècles, le maire va être considéré presque exclusivement comme un agent du pouvoir central.
Le 20 septembre 1792, la Convention décide que l’état civil sera désormais tenu par les corps municipaux.

1792-1800

Première République
Du 21 septembre 1792 au 18 mai 1804

Convention
Du 21 septembre 1792 au 26 octobre 1795

Les élus doivent prêter serment :

« Je jure de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution du Royaume, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de bien remplir mes fonctions ».


Le 13 février 1792, Claude MOMBERNIER est qualifié de Procureur de la commune.
Il signe les actes d’Etat-civil en tant que Maire jusqu’au 30 avril 1793.

Claude MOMBERNIER fils de Léonard MOMBERNIER et Magdelaine GELIN marié le 27/11/1787 avec Jeanne AUVOLAT fille de Jean AUVOLAT et Marie CHAVOIN.

Denis GACON est qualifié d’Officier de la municipalité et citoyen.

Denis GACON fils de Pierre Grégoire GACON et de Jeanne Marie JANIN marié avec DECHIZELLE Aimée.

En 1793, la fonction du maire va s’étendre au domaine militaire. Les maires doivent fournir en hommes, en matériel, et en vivres, recenser les soldats, les mobiliser.

Le 23 avril 1793, Denis GACON signe son premier acte (acte de mariage). Il se qualifie d’Officier Public.

Le 25 juin 1793, on constate que Claude MOMBERNIER est Maire et Denis GACON Officier Public.

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En 1793-1794 : Louis JOLY laboureur et propriétaire et Claude DURY maréchal sont Officiers Municipaux.

Directoire
Du 27 octobre 1795 au 10 novembre 1799

Sous le Directoire, il n’y a plus de municipalité organisée. Différentes personnes se succèdent pour la rédaction des actes d’état-civil.
On trouve :
- Denis GACON qualifié d’Officier Public (an 3) puis d’Officier Public Provisoire (le 17 nivôse an 4)

- Jean Claude THOMACHOT, qualifié d’Adjoint Municipal (20 pluviôse an 4 (naissances) 06 pluviôse an 4 (décès) 28 germinal an 4 (mariages).

- Jean Marie VADON qualifié d’Agent Municipal (14 brumaire an 5).

- Jean Baptiste DINET est qualifié d’Adjoint Municipal (10 messidor an 5). Il signe les actes jusqu’au 15 thermidor an 7.
Il est marié avec Jeanne Marie VILLERD.

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Le 12 janvier 1798, le Directoire adopte le service militaire obligatoire.
A chaque mobilisation de soldats, le maire doit organiser une cérémonie solennelle de départ.

1800-1804

Consulat
Du 10 novembre 1799 au 18 mai 1804

- Jean Baptiste AUCLERC est qualifié d’Agent Municipal (04 vendémiaire an 8 : naissance et décès) est agent municipal.
Il est Maire à compter du 30 prairial an 8 (mariages Le 30 prairial an VIII (août 1800). Il n’a pas été élu mais désigné. En effet, Depuis l’an VIII et ce, jusqu’en 1831, les maires de COUBLANC, comme ceux de toutes les communes de France, seront nommés par les préfets ou sous-préfets.

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En 1802, le Maire doit assister au tirage au sort des conscrits. S’il est absent, il est sanctionné.
Exemptions et remplacements dépendent de lui. Très nombreux vont être les maires destitués pour avoir voulu épargner la guerre à certains jeunes gens. Des actes de décès sont surchargés, des registres de l’état civil disparaissent, invention de maladies graves (comme l’épilepsie). Face à la conscription, le maire est entre le marteau et l’enclume, entre l’Etat et ses administrés.

1804-1830

Premier Empire
Du 18 mai 1804 au 03 avril 1814

Aussi le 22 décembre1804, un arrêté les rend responsables des réfractaires et des déserteurs de la commune.

- Etienne AUCLERC est Maire. Le conseil municipal est composé, entre autre, de DINET adjoint, DEMURGER, CHEVRETON, BUCHET, DURIS, DEBIESSE, BUCHET.


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Restauration
Du 06 avril 1814 au 02 août 1830

Le maire et le conseil municipal doivent prêter serment de
« fidélité et obéissance au Roi ».

Il sera successivement nommé maire de COUBLANC pour une période de 5 ans (de 1816 à 1821) par un arrêté du Préfet puis en 1821 et 1826 lors des renouvellements quinquennaux du conseil municipal et du maire et de l’adjoint.

 Il sera Maire jusqu’en 1830 (il signe son dernier acte d’état-civil le 03 novembre 1830).

1830-1842

La Royauté
Du 09 août 1830 au 24 février 1848

Chacun doit prêter serment de
« de fidélité au Roi, obéissance à la Charte Constitutionnelle et aux lois du royaume »

Le 14 septembre 1830, le Maire, l’adjoint et l’ensemble du conseil municipal prête serment « au Roi des Français, obéissance à la Charte Constitutionnelle et aux lois du royaume ».

Par la loi du 21 mars 1831, la monarchie de Juillet restaure l'élection du conseil municipal et décide que les conseillers municipaux seront élus par les contribuables les plus imposés. Elle maintient la nomination du Maire, choisi parmi les membres du conseil.

La loi du 18 juillet 1837 reconnaît sans ambiguïté la personnalité civile de la commune.

- Pierre AUCLAIR signera son premier acte d’état-civil en tant que Maire le 13 novembre 1830. Démissionnaire, il signera son dernier acte le 26 janvier 1842
C’est ensuite Rémy MONCORGE, adjoint, qui signera les actes d’état-civil jusqu’au 17 septembre 1843, premier acte signé par Claude JOLY.


1842-1860

Deuxième République
Du 24 février 1848 au 01 décembre 1852

Gouvernement provisoire du 24 février 1848 au 31 décembre 1851 puis Louis Napoléon BONAPARTE est Président de la République du 31 décembre 1851 au 02 décembre 1852.

La IIe République, par le décret du 3 juillet 1848, dispose que les maires des communes de moins de 10000 habitants seront désormais élus par les conseils municipaux, eux-mêmes élus au suffrage universel.

- Claude JOLY, de La Raterie, sera Maire à partir de 1842 et jusqu’en 1860.

En mai 1852, le maire et les conseillers prêtent serment en jurant
« obéissance à la constitution et fidélité au Président ».

1860-1870

Second Empire
Du 02 décembre 1852 au 04 septembre 1870

Avec le Second Empire, l'élection des conseillers municipaux est maintenue, mais tous les maires sont à nouveau nommés soit par le chef de l'Etat, pour les chefs-lieux et les villes de plus de 3000 habitants, soit par le préfet pour les autres (décret du 7 juillet 1852 ). De surcroît, les maires ne sont plus forcément choisis parmi les membres du conseil municipal. Mais l'impopularité des maires choisis hors des conseils est telle qu'une circulaire demandera en 1865 aux préfets de choisir le maire de préférence parmi les conseillers municipaux.

Le 05 août 1852, le décret proclamant l’Empire est transcrit sur le registre et lu à haute voix par le maire. Une messe est ensuite célébrée. D’après les autorités, les paroissiens se sont rendus à l’église aux cris de « VIVE L’EMPEREUR »

Le maire et l’ensemble des conseillers municipaux prêtent serment
« Je jure obéissance à la constitution et fidélité à l’Empereur »

- Rémy MONCORGE sera maire de 1860 à 1870. Il signera son dernier acte d’état-civil le 10 septembre 1870.

La défaite militaire de 1870 ainsi que de l'insurrection de la commune de Paris sont la conséquence de divers bouleversements.
Dès 1871, l'élection des conseils, qui avaient été dissous, est rétablie.

Troisième République
Du 04 septembre 1870 au 09 juillet 1940

Le 04 septembre 1870, la 3ème République est proclamée. Guerre de 1870-1871. La France est dirigée par un gouvernement de la Défense Nationale.

1870-1888

La IIIème République s'installant progressivement, une loi transitoire du 14 avril 1871 décide que les maires seront élus par les conseils municipaux. Mais pour les chefs-lieux et les villes de plus de 20.000 habitants, le maire reste nommé.

- Pierre Augustin AUCLAIR signe son premier acte le 20 octobre 1870.

Une vaste réforme est mise en chantier. Cette réforme constitue encore à l'heure actuelle le fondement du régime communal (Loi du 5 avril 1884).

Réélu le 23 janvier 1881, il sera Maire jusqu’au 20 mai 1888.

1888-1892

- Jean Marie Etienne AUCLAIR. Il sera Maire du 20 mai 1888 au 15 mai 1892.

1892-1902

- Auguste JOLY Maire jusqu’en 1902.

1902-1904

- Jean-Marie AUCLERC Maire du 23 novembre 1902 au 15 mai 1904.

1904-1912

- Jean-Nicolas AUCLAIR, de Cadolon, Maire du 15 mai 1904 au 19 mai 1912.

1912-1919

Le 19 mai 1912, un nouveau conseil municipal a été élu, avec une moitié d'anciens et une moitié de nouveaux.
- Louis Julien BUCHET né le 25 octobre 1866 à COUBLANC, a été choisi comme Maire. Il tenait au Bourg un bistrot-café.
Conseil municipal : Félix AUCLAIR, Jean-Nicolas AUCLAIR, Jean-Marie AUCLAIR, Antoine-Félix BUCHET, André CHASSIGNOL, Félix CORGER, Philibert DANIERE, Félix GRAPELOUP, Rémy JOLY, Julien MARCHAND, Jean-Claude MATHOUX, Benoît MILLET, Julien ROBIN, Victor THEVENET.

Quand la guerre a été déclarée, c'est lui qui a eu la charge d'annoncer aux familles les décès de leurs proches morts au combat. La première fois, il est redescendu sans pouvoir annoncer la nouvelle. De plus, l'annonce de tant de deuils lui faisait du tort en tant que patron de café. Il a donc démissionné du poste de maire en 1915, et sans qu'un nouveau maire soit nommé, la fonction a été remplie successivement par les adjoints, GRAPELOUP, de Montbernier (un qui avait une jambe de bois) et André CHASSIGNOL..
La plupart des jeunes conseillers partirent à la guerre. Ce fut le cas d'Antoine BUCHET, de Cadolon, de Félix AUCLAIR (marchand de charbon à Cadolon), de Victor THEVENET, de Rémy JOLY, et aussi de Julien GRAPELOUP de Carthelier. A cette époque, Joseph THEVENET, frère de Victor, était un très habile secrétaire de mairie.

Louis Julien BUCHET restera conseiller jusqu'en 1945.

1919-1924

- Philibert DANIERE, de Carthelier, est élu Maire le 10 décembre 1919.
Conseil municipal : Jean-Marie AUBONNET, Félix AUCLAIR, Antoine-Félix BUCHET, Louis Germain BUCHET, Louis Julien BUCHET, Joanny CHASSIGNOL, François CHAVANON, Pierre Marie CROZET, Marie Joseph DUBUY, Rémy JOLY, Julien MARCHAND, Jean-Claude MATHOUX, Benoît MILLET, Julien ROBIN, Victor THEVENET.

Il ne se sentit pas à la hauteur de la tâche quand il fallut aborder le problème de l'électrification, tandis que des "jeunes " conseillers y poussaient vivement.

Danière Philibert               10 décembre 1919               14 février 1924                4 ans  2 mois
  
Conseil municipal : Jean-Marie AUBONNET, Félix AUCLAIR, Louis BERTHIER, Antoine-Félix BUCHET, Louis Germain BUCHET, Louis Julien BUCHET (1er adjoint), Joanny CHASSIGNOL, François CHAVANON, Pierre Marie CROZET, Philibert DANIERE, Marius DUBUY, Jean-Claude MATHOUX, Benoît MILLET, Julien ROBIN, Victor THEVENET.
Le secrétaire de mairie de l'époque était l'instituteur Augoyard ; Raymond Jolivet prit la suite en 1932 ou 1933.

Electrification de la commune de COUBLANC.

Election de mai 1925 : il est réélu Maire.

Conseil municipal : Jean-Marie AUBONNET, Félix AUCLAIR, Louis BERTHIER, Antoine-Félix BUCHET, Louis Germain BUCHET, Louis Julien BUCHET (1er adjoint), Joanny CHASSIGNOL, François CHAVANON, Pierre Marie CROZET, Philibert DANIERE, Victor LACÔTE, Jean-Claude MATHOUX, François Firmin MILLET, Julien ROBIN, Victor THEVENET.

Election de mai 1929 : Rémy JOLY, Maire sortant, ne figurait qu'en troisième position après l'élection. Dans ces conditions, il refusa d'abord d'accepter la charge de Maire. On tira au sort, avec des « bûches » pour choisir entre les deux premiers de la liste. Le sort favorisa Joanny CHASSIGNOL, qui refusa la charge. Julien GRAPELOUP et Julien BUCHET, finirent par décider Rémy JOLY à accepter la charge de Maire.
Les 2ème adjoint apparaissent à partir de 1929.

Conseil municipal : Jean-Marie AUBONNET, Félix AUCLAIR (2ème adjoint), Claude BERTHIER, Louis BERTHIER, Maxime BERTHILLOT, Antoine-Félix BUCHET, Louis Germain BUCHET, Louis Julien BUCHET (1er adjoint), Joanny CHASSIGNOL, François CHAVANON, Pierre Marie CROZET, Julien GRAPELOUP, Victor LACÔTE, François Firmin MILLET, Victor THEVENET.

- Rémy JOLY est de nouveau élu Maire aux élections de mai 1935.
Conseil municipal : Jean-Marie AUBONNET, Félix AUCLAIR (2ème adjoint), Claude BERTHIER, Maxime BERTHILLOT, Antoine-Félix BUCHET, Louis Julien BUCHET (1er adjoint), Joanny CHASSIGNOL, Firmin CHAVANON, Pierre Marie CROZET, Benoît Joseph DRUERE, Julien GRAPELOUP, Victor LACÔTE, François Firmin MILLET, Victor THEVENET, Régis VACHER.

Etat Français
Du10 juillet 1940 au 25 août 1944

Rémy JOLY décéde à COUBLANC le 9 février 1943

1943-1945

- Maxime BERTILLOT est Maire du 9 février 1943 au 5 mai 1945.

Quatrième République
Du 26 août 1944 au 27 septembre 1958

1945-1955

- Emile PERRIN, qui présidait le comité de résistance, a été élu aux élections du 05 mai 1945.
Conseil municipal : Joseph AUCLERC, Clément BERTHIER, Maxime BERTHILLOT 1er adjoint), Norbert BUISSON (2ème adjoint), Marcel DEVERCHERE, Benoît Joseph DRUERE, Joanny DUBOUIS, Victor GRAPELOUP, Jean-Louis LIVET, Régis VACHER, Louis VIVIER.
Il sera Maire jusqu’au 2 août 1955.

1955-1957

- Joseph AUCLERC est élu Maire du 22 août 1955 au 8 décembre 1957.

1957-1959

- Émile PERRIN est de nouveau élu Maire du 28 décembre 1957 au 17 Mars 1959.

Cinquième République
Du 28 septembre 1958 à nos jours

1959-1971

- Raymond JOLIVET est élu Maire du 17 Mars 1959 au 21 Mars 1971.

1971-2008

- Jean LAUTREY sera élu Maire le 21 Mars 1971. Son mandat sera renouvelé 5 fois jusqu’à nos jour  (1977-1982), 
(1983-1989),  (1989-1994),  (1995-1999), (2001-2008).

Le 14 mars 2008, Grégory DABERT a été élu Maire de COUBLANC.

Composition du conseil municipal :
Adjoints : (dans l'ordre)
Georgette VOUILLON-Raphaël DUPERRON-Denise BERTHIER-Georges COLOMBO
Conseillers :
Jean Claude BENAS-Claudine BERRY-David BUZET BAGUE-Christophe CHAVANON-Jean Yves CHAVANON-Pierre DEGUT-Bernard DUMAITRE-Dominique GUINET-Sandrine LANET -Geneviève LARUE










  
Articles Christian Dessertine.

Introduction
Registres paroissiaux
Enfants "en nourrice"
Mariages au fil du temps
Mariages : réglementations
Les prénoms
Position sociale ancêtres
Famines et disettes - 1709
Un coublandi expatrié
Un soldat de Napoléon 1er
Médaille de Sainte-Héléne
Mémoire d'Henri Dessertine
Le monument aux morts
Les curés
Les Maires depuis 1792
Décés accidentel -1794
Assassinat à Coublanc - 1795
Homicide à Coublanc - 1800
"Sept morts sans ordonnance"
Naissance d'un "monstre"
Une maison sur 2 communes
Généalogie